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Who in the world am I? Ah, that's the great puzzle.
Adélaïde Sulla
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Adélaïde Sulla

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24/06/2016

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21

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Eerie Ange's

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Black★Rock Shooter
MessageSujet: Who in the world am I? Ah, that's the great puzzle.   Who in the world am I? Ah, that's the great puzzle. EmptyVen 24 Juin - 16:32




❝ Have I gone mad ? ❞ ❝ I'm afraid so, but let me tell you something. The best people usualy are. ❞

Physique
Une petite silhouette frêle, de longs cheveux noirs et de grands yeux bleus.
C’est à ça que je ressemble.
Une petite chose encore enfantine.

Je suis donc petite. Moins d’un mètre soixante. Certes, j’ai treize ans et bien le temps de grandir. Mais je suis tout de même plus petite que la majorité de ceux de mon âge, ce qui est relativement vexant.
Je suis maigre. C’est quelque chose qui se voit assez facilement. Je suis loin d’être épaisse, héritage d’une longue période de sous-alimentation. Un corps sans formes, maigre et plat.
Je suis pâle, tellement pâle. Rien qu’une peau blanchâtre qui me donne un air vaguement maladif.
De longs cheveux noirs. Je les attache en deux couettes, la majorité du temps. Une coiffure qui fait enfantin, mais j’y suis trop habituée pour l’abandonner ; après tout, c’est comme ça que je me coiffe depuis des années.
De grands yeux bleus. Je les aime bien. Un bleu tellement bleu. J’aime le bleu. C’est une belle couleur. J’aime bien l’aspect que ce bleu si bleu donne à mon regard.
Mon regard. Distant. Effrayé, peut-être. Lointain, quoi qu’il en soit. Mais dur. Un regard frappant par son intensité.

J’ai des cicatrices. Sur la poitrine, au ventre. Dans le dos. Des grosses cicatrices laides. Je les déteste.
Niveau vêtements, rien de particulièrement original. Je porte des shorts, la plupart du temps, avec une grande veste qui couvre le haut de mon corps. Avec un pauvre t-shirt en-dessous, évidemment.
Ce corps, je ne l’aime pas. Couvert de ma souffrance et de ma honte.

Caractère
Liberté.
Ce mot, c’est tout ce à quoi j’aspire. C’est tout ce que je veux être. Je veux vivre hors d’une cage.
Libre.

J’aime interagir avec les autres.
En théorie.
Communiquer, c’est quelque chose qui m’a toujours intéressé. J’ai toujours été fascinée par la facilité avec laquelle toutes les personnes autour de moi parlaient entre elles. Peut-être hypocritement et cherchant à faire des coups bas, mais naturellement.
Moi, je n’y arrive pas. Je ne sais pas quand est le bon moment pour dire telle banalité. Parfois, j’y arrive, mais j’ai plus l’impression qu’il s’agisse de chance qu’autre chose. Pourtant, qu’est-ce que j’aimerais pouvoir parler normalement avec les autres !…
Alors je me tais, la plupart du temps. J’observe. J’essaye de mémoriser des schémas de discussions. J’observe les similitudes entre les dialogues et j’essaye d’apprendre la logique de ces schémas.
Mais même si je veux désespérément communiquer avec les autres, j’ai peur aussi. Peur d’être blessée.

Je hais la solitude.
Je n’ai jamais aimé être seule, peut-être justement parce que je l’étais. J’ai été seule, vraiment seule, et je connais la douleur que cela engendre, et je sais que je ne veux plus la revivre. Je sais que tout est parti de ma solitude.
Je sais que sans la solitude, je n’aurais pas créé Elle.
Elle a été ma meilleure amie pendant des années. Elle a été la raison pour laquelle je me suis battue pour ma survie, pour ma liberté.
Mais si elle n’avait pas existé, je n’aurais pas eu besoin de me battre pour ma liberté.
Mais malgré tout ce que j’ai dû subir à cause d’elle, je ne lui en voudrais jamais. Rien n’est sa faute. Elle ne m’a jamais voulu de mal, au moins. C’est bien la seule, d’ailleurs.
Et ça y est, je me mets à me présenter comme une pauvre victime de la vie. Je le fais souvent, ça. A tort, rarement. Mais ce n'en est pas moins désagréable pour les autres. Et pour moi aussi, quand je me retrouve à y repenser. Je n'aime pas dire du mal des autres. Parce que je ne suis pas vraiment meilleure qu'eux. Moi aussi je suis égoïste, moi aussi je peux me comporter de manière désagréablement illogique. Moi aussi je suis humainement détestable.

Des défauts, j'en ai. Vous avez quelques exemples ci-dessus, et ce ne sont pas les seuls.

Bon, on peut mettre rapidement mes troubles mentaux dans cette liste. Je n'aime pas considérer ce côté-là de mon être comme un défaut mais les psys qui traînent sont rarement d'accord avec moi là-dessus, et puis de toute façon un psy a toujours plus raison qu'une ado surdouée qui vit ça, non ?
Quoi qu'il en soit.
Pendant de nombreuses années, j'ai communiqué avec une autre fille dans ma tête. Ce qui m'a valu l'asile psychiatrique, mais vous pouvez en savoir plus dans mon histoire. Pas envie de raconter ça deux fois. Enfin bref, maintenant, elle n'est plus là et bon… Même si c'est peut-être plus facile pour mon intégration à la société, elle me manque. Peut-être qu'elle n'était qu'une création de mon imagination, mais elle a été une véritable amie pendant des années.

Je peux mentir. Ça m’arrive, et je ne regrette pas systématiquement, loin de là. Surtout pour mes mensonges concernant Elle. Les autres ne doivent pas savoir, je sais où je me suis retrouvée la dernière fois que quelqu’un l’a appris, alors je mens, éhontément. Même si c’est mal de mentir. Mais je dois bien me protéger, non ?

Maniaque. J'ai la manie de tout ranger, tout. Trier de manière organisée tout ce qui traîne. Que ce soit mes vêtements dans un arc-en-ciel parfait dans mon armoire ou séparer systématiquement les aliments dans mon assiette. J'essaye de me contrôler un minimum là-dessus mais c'est tellement instinctif que c'est compliqué à gérer.
Je hais plus ou moins le désordre, du coup. S'il y a du bazar, il va finir rangé. C'est tout.

Quand on touche aux sujets qui me tiennent vraiment à cœur, je peux m'énerver, voire devenir violente facilement. Une gamine à l'air anorexique, ça ne fait pas peur, comme ça, mais en mode berserk, c'est un peu plus inquiétant. Encore une fois, plein de détails croustillants là-dessus dans mon histoire.

Bon, après, la très, très grande majorité du temps, je reste discrète et effacée. Les choses suffisantes pour me faire péter un plomb sont rares et que je pète effectivement un plomb n'est pas vraiment systématique. Mais je peux être dangereuse. Ce que je n'aime pas. Je n'aime pas blesser les gens, moi. Sur le moment, ça ne me dérange pas vraiment tant que ça, mais après, je regrette. Même quand j’ai de bonnes raisons.

Bon, vous la sentez bien, la tarée complètement instable psychologiquement ou il vous faut encore un peu plus de drama déprimant sur moi pour vous conforter dans l’idée que je suis juste bizarre ?

Eh bah on s’arrêtera là. Assez de dépression sur mes côtés compliqués. Il y a quelques trucs normaux chez moi, encore, et ils valent la peine aussi.

Je suis très ouverte à tout. Curieuse envers de très nombreux domaines, tolérante et tout. Si vous voulez vous faire harceler par quelqu’un parce que vous êtes différent, allez chercher quelqu’un d’autre.

Plutôt énergique. Pas du genre à dormir partout et à râler sur des gens parce qu’ils me réveillent. Je ne suis pas non plus une fille tout le temps à sauter sur tout le monde mais je suis rarement capable de rester à rien faire. J’ai besoin de m’occuper plus ou moins constructivement tout le temps. Pendant une discussion, ce n’est pas rare de me voir traverser la pièce dans tous les sens sans arrêt ou me balancer d’un pied sur l’autre, jouant avec mes mains. Le reste du temps, je lis, majoritairement. Il m’arrive aussi de tenter quelques gestes d’escrime, car j’en ai fait un moment il y a longtemps. Avant l’asile psychiatrique, alors ça remonte beaucoup. Mais j’aimais bien. J’aime toujours bien. Je ne suis pas très douée – sportivité zéro – mais ça a quelque chose de rassurant.

Je ne suis pas super habile de mes mains. Je suis une fille plutôt maladroite, très douée pour tomber ou me cogner par hasard. J’arrive en général à ne pas trop faire tomber ce que je tiens dans mes mains. Mais ça arrive.

Oh, et on peut éventuellement me qualifier d’intelligente, si on veut. Je suis surdouée. Bien surdouée et c’est tout.

Histoire
Je m’appelle Adélaïde.
Je suis née un 18 janvier, il y a treize ans.
Mes parents étaient des personnes normales, globalement. Des humains comme les autres avec une vie, un travail, pas trop d’argent, suffisamment tout de même, une famille.
Je suis fille unique. Ça m’a toujours suffi. Je n’avais pas besoin d’un frère ou d’une soeur, et même si j’en avais un, ça ne m’aurait pas fait grand-chose.
J’ai toujours été anormale. En premier, il y a eu mes pouvoirs. Manipuler le feu dès le berceau n'a pas été quelque chose que mes parents ont instinctivement adoré ; ils avaient peur que je démarre un incendie s’ils cessaient de faire attention à moi ne serait-ce qu’une seconde.
Bébé Adélaïde n’a jamais démarré de gros feu, pourtant, et elle est devenue grande.
Rien ne m’est arrivé de passionnant dans mes années de maternelle. Je ne devais pas utiliser mes pouvoirs pour ne pas effrayer les autres enfants – ou même les adultes, malgré le fait que mes parents ne le disaient pas.
Ils n’avaient pas besoin de s’inquiéter. Le feu m’effrayait. Voir plus qu’une flammèche sur mes bougies d’anniversaire me terrifiait.
Je ne risquais pas de créer du feu comme ça.
D’autres pouvoirs se manifestèrent au cours de ma petite enfance ; ma capacité à manipuler l’air tout d’abord, puis la glace rejoignit mes éléments.
C’est à cette période, toutefois, que mon intelligence hors normes commença à se faire remarquer. Avant mes sept ans, le verdict était fait ; j’étais surdouée.
Ma vie partit dans tous les sens en primaire ; je sautais des classes trop rapidement à mon goût – j’avais beau ne pas avoir de problèmes pour suivre, je n’aimais pas ces classes remplies de gens trop vieux qui me jugeaient sur mon cerveau trop développé pour eux -, mes parents travaillaient plus dur pour pouvoir me payer un collège à mon niveau.
J’étais seule, finalement. Intrinsèquement seule.
Et c’est là qu'Elle est arrivée.
Elle n'a pas de nom. Elle est juste Elle. Et Elle est juste moi. Mais moi est aussi Adélaïde. Peut-être qu'Elle s’appelle aussi Adélaïde. Je ne sais pas vraiment.
Elle, c’est mes troubles de la personnalité, comme les médecins aiment bien dire. Elle, c’est cette fille qui me parle quand je suis seule. C’est cette amie qui est là pour moi quand il n’y a personne.
J’ai toujours plus ou moins su qu’il n’y avait pas vraiment d'Elle. J’ai toujours plus ou moins su que j’étais folle, comme tout le monde s’interdit de penser.
J’aurais voulu que personne ne découvre Elle. Mais je me sentais mal à l'emprisonner en moi ainsi.
Les vrais problèmes ont commencé quand j’étais en CM2. Une de mes rares crises de rage. Un camarade à l'hôpital. Peut-être qu'Elle m'avait dit de laisser ma rage faire. Peut-être pas. Ce n'était pas l'important. Je le détestais. Il méritait tout ça.
Les adultes, eux, n'étaient pas vraiment d'accord avec moi. Ils ne pensaient pas qu'il le méritait, et à leurs yeux, j'étais la méchante. Et ils essayèrent de me faire parler. Et je finis par le faire. Et j'en dis trop.
Je n’aurais pas dû leur parler d’Elle. Je ne comprends toujours pas pourquoi je les ai laissés la découvrir. Elle aurait dû rester mon secret.
Parce que je ne voulais pas risquer de perdre Elle.
Qu'Elle soit un de mes torts ou pas, elle n'en était pas moins une part de moi.
Non.
Adélaïde est Moi et Elle.
Nous ne sommes que les deux faces d’une même pièce. Indissociables. Séparées, nous ne sommes même plus un demi-quelque chose. Nous avons besoin l’une de l’autre.
J’ai besoin d’Elle, tapie au fond de ma conscience, ma seule amie.
Elle avait besoin de moi, l’empêchant de nous détruire par une action inconsidérée.
Mais les autres ne réalisaient pas cela.
Pour tous les autres, Elle était juste cette chose dans ma tête qui faisait que je ne ne rentrais pas assez dans leurs stupides cases à leur goût.
Oui, je suis folle, si vous y tenez.
Mais si je n’avais pas Elle, je ne serais qu’une pauvre demi-rien, et la moitié de rien, ce n’est pas grand-chose. Et il n’y a pas besoin d’être très bon en maths pour savoir qu’une folle est un peu plus qu’un demi-rien.
Revenons-en à mon histoire.
J'ai donc envoyé quelqu'un que je détestais à l'hôpital et les adultes ont appris qu'Elle existait. Mais à leurs yeux, Elle n'était pas la part de moi que je voyais. Ils pensaient que Elle devait mourir. Alors ils m’ont envoyé dans un hôpital psychiatrique.
Apprenez qu’envoyer votre enfant dans un hôpital psychiatrique est toujours la meilleure chose à faire. Surtout, n’essayez pas de lui parler ou de le faire parler à quelqu’un d’un peu plus compétent que vous comme un psychiatre tout en le laissant dans un environnement agréable et familier. Après tout, essayer de comprendre son enfant est toujours une horrible idée et laisser des personnes inconnues s’occuper de lui sans que vous sachiez ce qu’il lui arrive, s’il est en bonne santé, si son séjour en hôpital psychiatrique se passe bien, et caetera, est une bien meilleure idée.
C’est donc là que je vis depuis mes neuf ans.
Murs gris sans âme.
Cellule sombre que rien ne peut éclaircir.
Violence du personnel au moindre faux pas.

Solitude absolue que même la présence d’Elle ne parvient pas à totalement effacer.
Douleur.
Douleur dans le corps et dans l’âme.
Envie d’en finir. Désir de cesser d’exister. De disparaître.

Interrogations.
Pourquoi m’avait-on laissée aller là ?
Pourquoi m’avait-on forcée à poser le pied dans cet… hôpital ?
Pourquoi m’avait-on abandonnée ainsi ?
Pourquoi n’étaient-ils jamais revenus me voir ?
Pourquoi n’étaient-ils jamais venus constater ma détresse ?
Pourquoi étais-je seule, où que j’aille, malgré Elle ?
Pourquoi ?

Volonté d’en finir.
Volonté d’en finir avec cette vie impossible et de se rebeller contre la vie que je subissais.
Volonté de gagner contre le monde lui-même.

Je suis parvenue à m’échapper. Un garde suffisamment vicieux fut tout ce dont j’eus besoin. Treize ans, un âge où l’on commence à développer un corps d’adulte, tout en restant enfantine.
Être pure et innocente n’était rien par rapport à être libre.

Libre, je l’étais enfin. Quatre ans emprisonnée. Sans voir personne. Quatre ans à ne parler qu’à moi-même et à Elle, alors que sa voix faiblissait peu à peu, jusqu'à disparaître alors que je me noyais dans ma dépression.
Un hôpital psychiatrique, bien sûr.
La vie là-bas était suffisante pour devenir fou. Et ils prétendaient tout de même pouvoir y soigner des gens.
J’en voulais à mes parents pour m’avoir placé ici, mais j’osais espérer qu’il s’agissait juste d’un acte inconscient qui a eu des conséquences plus graves que ce qu’ils supposaient, une machine qui ne pouvait plus faire marche arrière.
Alors je rentrai chez moi.
Je traversai la moitié du pays par mes propres moyens. A pied, principalement. Peu m’importait le temps que cela prenait. Je voulais revenir chez moi. Je voulais retrouver cet endroit où je me sentais à l’aise et protégée.

Et un jour, j’arrivai.
Je n’avais pas vraiment prévu quoi faire. Je pensais juste arriver et je supposais qu’après, tout s’arrangerait miraculeusement.
Oh, que j’étais niaise et stupide.
Je retrouvai cette petite maison qui avait été ma maison si longtemps, mais seulement pour découvrir que j’en serais chassée pour toujours.
Le visage rayonnant de bonheur de mes parents fut le premier coup de poignard qui m’atteignit. Je ne comprenais pas qu’ils soient aussi heureux alors qu’ils avaient perdu leur petite fille depuis quatre ans.
Mais je compris.
Une fillette de deux ou trois ans marchait hasardeusement sur le sol.
Une fillette de deux ou trois ans et aux cheveux bleus.
Ma petite sœur.
Evidemment.
Ils m’avaient abandonné.
Ce n’était pas qu’ils n’avaient pas pu revenir pour moi.
Ils avaient abandonné leur folle de fille pour une autre, celle à naître.
Ma mère était-elle déjà enceinte quand ils m’ont enfermé ici pour toujours ?
M’avaient-ils caché délibérément que je deviendrais une grande sœur, bientôt ?
J’avais été un monstre avec ce camarade.
Mais avec elle, j’aurais été la meilleure grande sœur dont elle aurait pu rêver.
Et ils nous ont privés toutes les deux de l’autre.

Je les détestais.
Je les détestais, intrinsèquement, viscéralement, du plus profond de mon être.
Je me vengeai, de toute la puissance de ma haine.

Deux jours plus tard, on retrouvait deux cadavres dans la maison des Sulla, le corps découpé en petits morceaux et le sang étalé sur les murs et le sol de manière presque artistique. L’autopsie révéla qu’il s’agissait effectivement du couple qui vivait là. La police n’avait pas la moindre trace sur leur meurtrier.
Leur fille, elle, avait disparu. On la retrouva quelques semaines plus tard dans un orphelinat. Les employés affirmèrent que l’enfant leur avait été déposé par une jeune fille affolée, qui ressemblait indéniablement au bébé.
On pensa à leur fille aînée, qui avait totalement disparu quatre ans plus tôt. Ses parents affirmaient qu’elle était morte, mais aucun document officiel ne l’avait jamais prouvé. Toutefois, aucune information laissant envisager sa survie n’était disponible.
L’enquête fut finalement abandonnée.


Pendant ce temps, j’errais au hasard. Je n’avais plus nulle part où aller. Je ne pouvais pas revenir. Je ne savais pas où partir.
Un jour, au détour d’une rue, j’entendis un nom. « White Roses Academy ».
Une école de magie qui accueillait tous types d’élèves gratuitement.

Je n’avais pas de meilleur endroit où aller.
Développer mes pouvoirs et surmonter ma terreur de toujours.
Pourquoi pas.

Who I Am

Je me nomme Adélaïde Sulla et j'ai 13 ans. Je suis né le 18 janvier 2194. Je suis une humaine. Je souhaite être une élève. Je possède des pouvoirs élémentaires ; je peux manipuler le feu, l'air et la glace. Mes options sont Arts Visuels et Latin/Grec. J'aime la liberté et je déteste le feu. Ma tête est celle de Black★Rock Shooter.



Pouvoirs Manipuler le feu, l'air et la glace.
Race Humaine

And...


Options Arts Visuels & Latin/Grec

Behind

Je suis Ange's et j'ai 15 ans. J'écris depuis 6 ans et j'ai créé le forum, du coup je le trouve parfait.

© Halloween
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